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Prié d’expliquer les causes de ces dysfonctionnements, il a souligné que ‘si par exemple les grossistes, qui sont dans les quartiers, n’ont pas approvisionné à temps leurs dépôts, il peut y avoir ce dysfonctionnement qui peut faire penser qu’il y a rupture’. ‘Or, a-t-il poursuivi, il y a rupture de gaz si, au niveau des centres emplisseurs, il n’y a pas de gaz. Tous les centres emplisseurs sont en train de fonctionner, parce qu’un tanker de 5 000 tonnes est en train de décharger, de leur fournir le produit’, a encore dit M. Guèye.
Le secrétaire permanent du Comité national des hydrocarbures a par ailleurs assuré qu’il n’y aura ‘pas de hausse du prix du gaz’. ‘Le gaz est un produit social que l’Etat a subventionné depuis plusieurs années et qu’il continue à subventionner. Donc, aujourd’hui la bouteille de 6 kilos est vendue à 2 500 francs et elle le restera’, a-t-il dit.
(Aps)
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