Les commentaires vont bon train sur les circonstances de la mort du muezzin de la grande mosquée de Kédougou, une localité située à 254 km de Tambacounda ; et les populations pleurent encore leur père spirituel. Agé de 65 ans, le vieux Famara Sidibé dit Dieylia était connu de toutes les populations de la « terre des hommes », par sa voix suave qui guidait les fidèles musulmans sur l'heure des prières. Le mercredi 19 juillet, en se rendant à la mosquée vers les coups de 5 heures du matin, pour respecter la tradition de l'appel à la prière, le muezzin Famara Sidibé dit Dieylia ne savait pas du tout que sa vie allait être aussi brutalement abrégée. Le sexagénaire a été l'objet de plusieurs menaces de la part du déficient mental, Ababacar Niang, âgé de 30 ans, et né à Ida Séko dans le département de Kaffrine, qui avait élu domicile à côté de la grande mosquée, située dans le quartier Mosquée de Kédougou. Le fou qui ne supportait pas que le muezzin le dérange dans son sommeil, dans l'enceinte du lieu du lieu de culte, ira très loin. C'est ainsi qu'il en informe à plusieurs reprises les responsables de la mosquée. Entre- temps, le fou Ababacar Niang mûrit son plan. Arrivé à hauteur de la grande mosquée pour l'appel des fidèles à la prière du matin, le muezzin est aussitôt attaqué par le déficient mental qui passa à l'acte, en le rouant de plusieurs coups de bâton sur la tête, la bouche et les autres parties du corps. Il tombe et gît dans une mare de sang. Les habitants du quartier Mosquée accourent. Le sexagénaire est acheminé vers le district sanitaire de Kédougou, avant d'être acheminé le jeudi 20 juillet au centre hospitalier régional de Tambacounda où il sera interné à la salle des urgences. Le muezzin sexagénaire va rendre l'âme quelques minutes après, des suites de graves blessures au niveau de la région crânienne. Le malade mental, qui a pris la poudre d'escampette pour se réfugier à 43 km de Kédougou, a été retrouvé avant d'être arrêté et acheminé par l'ambulance du district sanitaire de Kédougou, afin de le mettre à la disposition du centre psychiatrique de Djinkoré, situé à 9 km de Tambacounda. Les commentaires sur les circonstances de la mort du muezzin Famara Sidibé dit Dieylia vont bon train à Kédougou.
Faits-Divers
Dérangé dans son sommeil :Le fou tabasse mortellement le muezzin de la grande mosquée de Kédougou
Les commentaires vont bon train sur les circonstances de la mort du muezzin de la grande mosquée de Kédougou, une localité située à 254 km de Tambacounda ; et les populations pleurent encore leur père spirituel. Agé de 65 ans, le vieux Famara Sidibé dit Dieylia était connu de toutes les populations de la « terre des hommes », par sa voix suave qui guidait les fidèles musulmans sur l'heure des prières. Le mercredi 19 juillet, en se rendant à la mosquée vers les coups de 5 heures du matin, pour respecter la tradition de l'appel à la prière, le muezzin Famara Sidibé dit Dieylia ne savait pas du tout que sa vie allait être aussi brutalement abrégée. Le sexagénaire a été l'objet de plusieurs menaces de la part du déficient mental, Ababacar Niang, âgé de 30 ans, et né à Ida Séko dans le département de Kaffrine, qui avait élu domicile à côté de la grande mosquée, située dans le quartier Mosquée de Kédougou. Le fou qui ne supportait pas que le muezzin le dérange dans son sommeil, dans l'enceinte du lieu du lieu de culte, ira très loin. C'est ainsi qu'il en informe à plusieurs reprises les responsables de la mosquée. Entre- temps, le fou Ababacar Niang mûrit son plan. Arrivé à hauteur de la grande mosquée pour l'appel des fidèles à la prière du matin, le muezzin est aussitôt attaqué par le déficient mental qui passa à l'acte, en le rouant de plusieurs coups de bâton sur la tête, la bouche et les autres parties du corps. Il tombe et gît dans une mare de sang. Les habitants du quartier Mosquée accourent. Le sexagénaire est acheminé vers le district sanitaire de Kédougou, avant d'être acheminé le jeudi 20 juillet au centre hospitalier régional de Tambacounda où il sera interné à la salle des urgences. Le muezzin sexagénaire va rendre l'âme quelques minutes après, des suites de graves blessures au niveau de la région crânienne. Le malade mental, qui a pris la poudre d'escampette pour se réfugier à 43 km de Kédougou, a été retrouvé avant d'être arrêté et acheminé par l'ambulance du district sanitaire de Kédougou, afin de le mettre à la disposition du centre psychiatrique de Djinkoré, situé à 9 km de Tambacounda. Les commentaires sur les circonstances de la mort du muezzin Famara Sidibé dit Dieylia vont bon train à Kédougou.
1 Commentaires
Allons Y Molo
En Octobre, 2010 (18:37 PM)Participer à la Discussion