S'il y a une dame qui empêche son mari de vivre tranquillement avec sa famille et ses enfants, c'est certainement la dame Awa Diallo. L'histoire s'est déroulée dans l'arrondissement de Fongolimbi, dans le département de Kédougou - région de Tambacounda - le dimanche 19 février vers les coups de 19 heures. Tout est parti du voyage du mari en compagnie de ses deux femmes, Awa Diallo et Dieynaba Diallo, pour se rendre à Kédougou, plus précisément dans le village de Hafia, pour présenter des condoléances suite au décès d'un membre de la famille de Awa Diallo. Ayant accompli ce rite, la famille décide de rentrer à Kédougou. Il est 19 heures ce dimanche 19 février, quand la dame Dieynaba Diallo - en bonne épouse - après avoir lavé son enfant, puise de l'eau pour que son mari puisse se laver. Cherchant querelle, la dame Awa prend cette eau qu’a puisée Dieynaba, et décide de se laver avec. Cette provocation sera la goutte d'eau qui fera déborder le vase. Dieynaba lui demande de laisser cette eau puisée par elle-même. L’autre refuse. L’altercation commence, puis dégénère. Elles en viennent aux mains une première fois… avant d'être séparées par la voisine, Dianké Sidibé. Le mari prend l'eau, va se laver ; puis sort, vaquer à ses occupations. Awa profite de l'absence du maître des lieux pour proférer des insanités en direction de Dieynaba, avant de prendre un bâton et de la rouer de coups. Pour finir, la belliqueuse Awa, qui avait auparavant fait bouillir une marmite d’eau, versera cette eau chaude sur sa co-épouse. Dieynaba, atteinte sur tout le corps, tombera à terre, se tordant de douleur. Elle sera acheminée vers le district sanitaire de Kédougou, puis internée au centre hospitalier régional de Tambacounda pour des soins intensifs ; avec un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de 15 jours, délivré par un médecin. Le 25 février, elle se présente au commissariat de police de Tambacounda avec le certificat médical, pour déposer une plainte. La dame Awa est vite cueillie par les limiers dans son domicile au quartier Abattoirs. Ecrouée puis déférée au parquet, elle a pu bénéficier d'un retour de parquet (Rp), le lundi. Le mardi 28 février, elle est à nouveau déférée au parquet avant d'être placée sous mandat de dépôt à la citadelle du silence de Tambacounda, où elle va méditer sur son acte ignoble.
Faits-Divers
Tambacounda : Une dame ébouillante sa co-épouse et se retrouve en prison
S'il y a une dame qui empêche son mari de vivre tranquillement avec sa famille et ses enfants, c'est certainement la dame Awa Diallo. L'histoire s'est déroulée dans l'arrondissement de Fongolimbi, dans le département de Kédougou - région de Tambacounda - le dimanche 19 février vers les coups de 19 heures. Tout est parti du voyage du mari en compagnie de ses deux femmes, Awa Diallo et Dieynaba Diallo, pour se rendre à Kédougou, plus précisément dans le village de Hafia, pour présenter des condoléances suite au décès d'un membre de la famille de Awa Diallo. Ayant accompli ce rite, la famille décide de rentrer à Kédougou. Il est 19 heures ce dimanche 19 février, quand la dame Dieynaba Diallo - en bonne épouse - après avoir lavé son enfant, puise de l'eau pour que son mari puisse se laver. Cherchant querelle, la dame Awa prend cette eau qu’a puisée Dieynaba, et décide de se laver avec. Cette provocation sera la goutte d'eau qui fera déborder le vase. Dieynaba lui demande de laisser cette eau puisée par elle-même. L’autre refuse. L’altercation commence, puis dégénère. Elles en viennent aux mains une première fois… avant d'être séparées par la voisine, Dianké Sidibé. Le mari prend l'eau, va se laver ; puis sort, vaquer à ses occupations. Awa profite de l'absence du maître des lieux pour proférer des insanités en direction de Dieynaba, avant de prendre un bâton et de la rouer de coups. Pour finir, la belliqueuse Awa, qui avait auparavant fait bouillir une marmite d’eau, versera cette eau chaude sur sa co-épouse. Dieynaba, atteinte sur tout le corps, tombera à terre, se tordant de douleur. Elle sera acheminée vers le district sanitaire de Kédougou, puis internée au centre hospitalier régional de Tambacounda pour des soins intensifs ; avec un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de 15 jours, délivré par un médecin. Le 25 février, elle se présente au commissariat de police de Tambacounda avec le certificat médical, pour déposer une plainte. La dame Awa est vite cueillie par les limiers dans son domicile au quartier Abattoirs. Ecrouée puis déférée au parquet, elle a pu bénéficier d'un retour de parquet (Rp), le lundi. Le mardi 28 février, elle est à nouveau déférée au parquet avant d'être placée sous mandat de dépôt à la citadelle du silence de Tambacounda, où elle va méditer sur son acte ignoble.
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