Le premier secrétaire du Parti Socialiste, le géomètre Ousmane Tanor Dieng, vient de révéler derechef aux yeux du monde sa véritable nature. En effet, la soif du pouvoir constitue, entre autres, un des éléments constitutifs de la personnalité de ce “chef de parti”. Une chefferie d’ailleurs contestée, parce que trop facilement acquise. Tanor doit comprendre que l’histoire ne ment pas et qu’elle rattrape très souvent ceux qui la font.
Quand le monde entier dénonce la situation en Côte d’Ivoire, ce pays frère ; quand la démocratie est menacée, bafouée et foulée du pied, quand les populations dépitées, désorientées et apeurées sont sur le pied de guerre ou de l’exil ; quand on ne respecte point la vérité des urnes ; quand l’opinion nationale et internationale est sous le choc, le renversant Tanor Dieng et son Parti socialiste mettent de côté toutes les valeurs et rament à contre-courant.
Le fait d’avoir choisi l’injustice et rejeté totalement la légalité et la démocratie est la preuve de l’incohérence et de l’hypocrisie de l’homme. Par son soutien pitoyable à Laurent Gbagbo au nom d’une prétendue camaraderie et surtout d’intérêts personnels, Tanor accepte ainsi pour un autre pays ce qu’il prétend combattre dans son propre pays.
En vérité, il est simplement un homme de facilité, celui du moindre effort, qui a hérité d’un parti politique sans verser une seule goutte de sueur. Ce personnage mythologique comparable à un sphinx, rappelle honteusement mais dangereusement un régime qui avait mis le pays à genoux. C’était le régime du désespoir, de la misère, de la mal gouvernance et de l’arrogance. Ainsi, l’octroi douteux et facile des fameuses licences de pêche a constitué à l’époque une illustration parfaite de la mal gestion des affaires de l’Etat.
Pendant cette même époque, les libertés étaient bafouées ou quasi-inexistantes. C’était l’ère des couvre-feux, de la répression, du bâillonnement, de la peur. Bref tout ce supplice-là, que le peuple digne de la Côte d’Ivoire vit aujourd’hui et que notre cher pays a dépassé par la grâce de Me Wade.
Dès lors, les populations sénégalaises doivent s’arrêter un moment et s’interroger d’avantage sur le vrai caractère de ceux-là qui convoitent tant le pouvoir. Le comportement de certains parmi eux qui, faute de programmes crédibles et par égoïsme, vilipendent le Sénégal, ternissent l’image de leur propre pays à l’étranger, ne fera qu’exacerber l’ingénieuse idée d’une convergence autour du candidat Abdoulaye Wade. Et la position du Parti socialiste, j’allais dire de Benno, indissociable de celle de son chef Tanor, constitue à n’en plus douter, une autre illustration du manque de sagesse qui règne dans ce camp.
Voila pourquoi nous en appelons au sens de discernement de nos compatriotes, pour qu’au soir du 26 février 2012, ces marchands d’illusions reçoivent la sanction qu’ils méritent. Nous sommes d’ores et déjà persuadés que, tel Sisyphe, cette opposition est condamnée.
Elle vient encore de baliser pour Wade le chemin qui mènera à la victoire en 2012, notre parti se doit de s’approprier cet avantage et de le conserver jalousement.
La Convergence des Cadres Libéraux pour l’Enracinement du Sopi (CLESOPI).
Le fait d’avoir choisi l’injustice et rejeté totalement la légalité et la démocratie est la preuve de l’incohérence et de l’hypocrisie de l’homme. Par son soutien pitoyable à Laurent Gbagbo au nom d’une prétendue camaraderie et surtout d’intérêts personnels, Tanor accepte ainsi pour un autre pays ce qu’il prétend combattre dans son propre pays.
En vérité, il est simplement un homme de facilité, celui du moindre effort, qui a hérité d’un parti politique sans verser une seule goutte de sueur. Ce personnage mythologique comparable à un sphinx, rappelle honteusement mais dangereusement un régime qui avait mis le pays à genoux. C’était le régime du désespoir, de la misère, de la mal gouvernance et de l’arrogance. Ainsi, l’octroi douteux et facile des fameuses licences de pêche a constitué à l’époque une illustration parfaite de la mal gestion des affaires de l’Etat.
Pendant cette même époque, les libertés étaient bafouées ou quasi-inexistantes. C’était l’ère des couvre-feux, de la répression, du bâillonnement, de la peur. Bref tout ce supplice-là, que le peuple digne de la Côte d’Ivoire vit aujourd’hui et que notre cher pays a dépassé par la grâce de Me Wade.
Dès lors, les populations sénégalaises doivent s’arrêter un moment et s’interroger d’avantage sur le vrai caractère de ceux-là qui convoitent tant le pouvoir. Le comportement de certains parmi eux qui, faute de programmes crédibles et par égoïsme, vilipendent le Sénégal, ternissent l’image de leur propre pays à l’étranger, ne fera qu’exacerber l’ingénieuse idée d’une convergence autour du candidat Abdoulaye Wade. Et la position du Parti socialiste, j’allais dire de Benno, indissociable de celle de son chef Tanor, constitue à n’en plus douter, une autre illustration du manque de sagesse qui règne dans ce camp.
Voila pourquoi nous en appelons au sens de discernement de nos compatriotes, pour qu’au soir du 26 février 2012, ces marchands d’illusions reçoivent la sanction qu’ils méritent. Nous sommes d’ores et déjà persuadés que, tel Sisyphe, cette opposition est condamnée.
Elle vient encore de baliser pour Wade le chemin qui mènera à la victoire en 2012, notre parti se doit de s’approprier cet avantage et de le conserver jalousement.
La Convergence des Cadres Libéraux pour l’Enracinement du Sopi (CLESOPI).
4 Commentaires
Patriotes
En Décembre, 2010 (13:23 PM)Dia
En Décembre, 2010 (13:27 PM)Cameleon
En Décembre, 2010 (13:27 PM)Laye
En Décembre, 2010 (13:29 PM)C'est quoi ça ?
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