Le 14 février dernier, Samuel Sarr, ancien directeur de West African Energy (Wae), dans les liens de la détention depuis novembre dernier, était revenu à la charge, en déposant une nouvelle demande de mise en liberté provisoire sur la table du juge d'instruction du deuxième cabinet.
Dans sa livraison de ce mercredi, 26 février, les Échos fait savoir que le juge du 8e cabinet, qui s'est substitué à son collègue du 2e cabinet empêché, a rendu une ordonnance de rejet ce mardi. Motivant sa décision, le magistrat instructeur invoque, d'après la source, «l'absence de faits nouveaux entre la première requête [ayant fait l'objet d'un refus] et la nouvelle».
«L'autre argument brandi par le juge est que la mise en liberté provisoire de [l'ancien ministre de l'Énergie] pourrait entraver la bonne marche de l'instruction, notamment faciliter une éventuelle concertation ou collusion avec les tiers impliqués», glisse le quotidien d'information.
Celui-ci signale que le magistrat instructeur s'est également appesanti sur «le réquisitoire du chef du Parquet», insistant sur le fait que «Samuel Sarr a déjà une requête pendante actuellement devant la Chambre d'accusation», qui devrait statuer le 4 mars prochain.
Parallèlement à cette procédure, les avocats du mis en cause ont fait appel à l'ordonnance du juge d'instruction, conclut Les Échos.
Dans sa livraison de ce mercredi, 26 février, les Échos fait savoir que le juge du 8e cabinet, qui s'est substitué à son collègue du 2e cabinet empêché, a rendu une ordonnance de rejet ce mardi. Motivant sa décision, le magistrat instructeur invoque, d'après la source, «l'absence de faits nouveaux entre la première requête [ayant fait l'objet d'un refus] et la nouvelle».
«L'autre argument brandi par le juge est que la mise en liberté provisoire de [l'ancien ministre de l'Énergie] pourrait entraver la bonne marche de l'instruction, notamment faciliter une éventuelle concertation ou collusion avec les tiers impliqués», glisse le quotidien d'information.
Celui-ci signale que le magistrat instructeur s'est également appesanti sur «le réquisitoire du chef du Parquet», insistant sur le fait que «Samuel Sarr a déjà une requête pendante actuellement devant la Chambre d'accusation», qui devrait statuer le 4 mars prochain.
Parallèlement à cette procédure, les avocats du mis en cause ont fait appel à l'ordonnance du juge d'instruction, conclut Les Échos.
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