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Le journaliste Martin Weill s'est rendu dans la ville d'Harrison (Arkansas) à la rencontre de ses habitants. Cela fait désormais un an que Donald Trump a été élu président des États-Unis. Durant ce laps de temps, il a fait énormément parler de lui. Mais s'il y a bien un scandale qui a touché l'opinion public, c'est sans nul doute les manifestations racistes de Charlottesville. Pour marquer le coup, le journaliste français Martin Weill s'est donc rendu dans la ville la plus raciste d'Amérique: la ville d'Harrison.
Et le décor donne tout de suite le ton: on y voit un peu partout des pin's SS, des autocollants racistes et des livres ventant les mérites de la race blanche. Niveau population, ce n'est guère mieux. Le journaliste a, en effet, rencontré un homme affirmant être nazi et selon lequel l'holocauste n'a jamais existé. Il ira encore plus loin en déclarant que: "les États-Unis se sont fait piéger en allant combattre l'Allemagne nazie: ils ont affronté leur "propre race"".
Un peu plus loin, Martin Weill rencontre un autre habitant nostalgique, lui, de l'escalavage qui affirme que "les blancs et les noirs se sont bien entendus à l'époque où les noirs étaient des esclaves. On avait de bonnes relations avec eux, presque familiales. On les aimait et ils nous aimaient".
2 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2017 (15:33 PM)Anonyme
En Novembre, 2017 (16:47 PM)Participer à la Discussion