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La Coordination des sections du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) de Dakar demande à ses militants de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de ne pas reprendre l’organisation des examens de fin d’année ‘’tant que les conditions de sécurité ne sont pas réunies’’. Dans une déclaration dont copie a été transmise à l’APS, le SAES souligne que les élections pour le renouvellement des bureaux des Amicales de Faculté ont ‘’occasionné des actes graves, inacceptables et injustifiables dans l’espace universitaire’’.
A la Faculté des sciences économiques et gestion (FASEG), le SAES
déplore le ‘’blocage des activités pédagogiques et empêchement de la
tenue des examens terminaux de L1 PC et L1 SN de la FST délocalisés
ainsi que de ceux prévus le 20 septembre’’ à la Faculté des sciences et
techniques (FST.
Le SAES condamne de tels actes et exige des autorités, des sanctions proportionnelles aux actes commis.
Il demande également aux autorités de ‘’prendre toutes les mesures pour
assurer la sécurité des personnes et des biens à l’Université’’.
12 Commentaires
Vre
En Septembre, 2012 (11:59 AM)Dxb
En Septembre, 2012 (12:00 PM)Daara J
Rambii
En Septembre, 2012 (12:13 PM)Niokos+ Jigijigi
En Septembre, 2012 (12:22 PM)Sauvons Nos Universités
En Septembre, 2012 (12:57 PM)Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.
A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.
Il n'est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
Sauvons Nos Universités
En Septembre, 2012 (12:58 PM)A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.
Il n'est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
Baay Gallaay
En Septembre, 2012 (12:59 PM)Tu te rapelle que c'est les syndicats enseignats qui ete en greve pour juste des interets pecuniaires, une greve qui a frole l'annee blanche. Tu oses parler de ces pauvres etudiants qui n'ont que les amicales pour s'exprimer et se defendre?
ak leneen ak leneen? loo xamul maandu si, loolu mooy ndoorteelu jaamu yalla. wa salaam
Edou
En Septembre, 2012 (14:38 PM)Bouuu
En Septembre, 2012 (15:07 PM)faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
faut choisir les meilleurs etudiants pour diriger les amicales comme ca n y aura plus de probléme
Da
En Septembre, 2012 (15:27 PM)Kit
En Septembre, 2012 (16:59 PM)Etudiants
En Septembre, 2012 (20:00 PM)Les diplômes de l'ucad n'auront aucune valeur et ne seront pas pris au sérieux par les entreprises. Il faut nettoyer l'université publique, c'est l'état qui doit commander et pas les étudiants (une partie) . il faut remettre à l'ordre du jour les certificats de présence aux cours qui doivent faire partie intégrante de l'obtention du diplôme final (et la grosse surprise il y a des étudiants qui n'ont jamais franchis la porte d'une salle) les bourses pourraient etre éventuellement revue en baisse pour les absents. Toutes les matières scientifiques sont boudées car il faut "travailler" et surtout partir d'un bac S et cela est une autre histoire. On choisit le facile et avec peu d'effort. On fabrique des diplômés qui n'auront pas de travail : mauvaises filières, médiocrité des candidats, inadaptation des formations aux besoins de la société.
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