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Un comité regroupant des musiciens, chanteurs, danseurs, comédiens, poètes, entre autres créateurs, a adressé au Président Macky Sall une lettre dans laquelle ses membres lui demandent de signer le décret d’application de la loi relative à la rémunération pour copie privée.
Celle-ci a été adoptée en 2008. Le texte instaure une redevance accordée aux ayants droit d’une œuvre pour compenser les pertes liées à sa reproduction. «Cette rémunération va sortir les artistes de la galère, clament les créateurs dans leur courrier adressé au chef de l’État et repris par L’Observateur. Votre action peut sauver les artistes. Faites appliquer ce droit au bénéfice de la culture et du Sénégal.»
La lettre des artistes à Macky Sall constitue une relance, selon le journal du Groupe futurs médias. Auparavant, signale la même source, plusieurs initiatives ont été prises par les acteurs de l’écosystème de la production artistique pour obtenir l’effectivité de ladite loi. Toutes ces actions sont restées vaines. «C’est par la suite que les principales organisations professionnelles (concernées) ont décidé de mettre en place un comité et de saisir le président de la République», rapporte L’Observateur.
Celle-ci a été adoptée en 2008. Le texte instaure une redevance accordée aux ayants droit d’une œuvre pour compenser les pertes liées à sa reproduction. «Cette rémunération va sortir les artistes de la galère, clament les créateurs dans leur courrier adressé au chef de l’État et repris par L’Observateur. Votre action peut sauver les artistes. Faites appliquer ce droit au bénéfice de la culture et du Sénégal.»
La lettre des artistes à Macky Sall constitue une relance, selon le journal du Groupe futurs médias. Auparavant, signale la même source, plusieurs initiatives ont été prises par les acteurs de l’écosystème de la production artistique pour obtenir l’effectivité de ladite loi. Toutes ces actions sont restées vaines. «C’est par la suite que les principales organisations professionnelles (concernées) ont décidé de mettre en place un comité et de saisir le président de la République», rapporte L’Observateur.
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