
En logique mathématique, l'énoncé d'une assertion appelée proposition est souvent assujetti à une articulation d'hypothèses pouvant générer des conclusions concordantes à formuler sur la base d'une cohérence d'ensemble structurée autour d'un raisonnement hypothético-deductif.
C'est dans ce cadre que je me soumets à un exercice d'application sur un sujet politique qui fait débat au niveau de l'opinion publique.
Ce qui m'amène à convoquer une méthodologie fondée sur une argumentation connue des logiciens et adossée au registre de l'utilisation de symboles de liaison appelés connecteurs logiques dans un domaine spécifique des mathématiques appelé algèbre de Boole assorti de son langage sémiologique qui structure son formalisme didactique .
Sous ce rapport, il est fréquent de se confronter à ces outils de liaison , parmi eux, un symbole souvent transcrit par une flèche horizontale dirigée de gauche à droite et lu " implique" comme verbe connecteur.
Ce symbole est l'un des connecteurs utilisés dans le langage binaire comme fondement de sa logique de raisonnement .
Autrement dit, ce symbole ainsi transcrit, est un connecteur logique qui traduit l'expression suivante "si ..., alors...."
A titre d'exemple," s'il pleut, alors le sol est mouillé".
Pour rappel, pour ceux qui ont eu, dans leur parcours scolaire, en mathématiques, à établir des tables de vérité ou fonction de vérité en classe de seconde au lycée , les connecteurs logiques sont souvent les conjonctions de coordination "et ,ou" auxquelles s'ajoutent les connecteurs " implication" , " si et seulement si " qui n'est rien d'autre qu' une double implication ou équivalence , entre autres.
En outre, ces connecteurs n'ont que deux valeurs de vérité ; vrai ou faux.
A cet effet, pour revenir à l'énoncé de l'article 27 de la constitution qui met en jeu à la fois le nombre et la durée du mandat présidentiel du point de vue de la possibilité de son renouvellement ou non, au delà de la sémantique ou de la syntaxe dans sa rédaction en français , j'ai voulu apporter ma modeste contribution dans une analyse "litteralomathématique",excusez de ma turpitude dans ce faux néologisme, qui combine la forme cognitive dans sa quintessence littéraire à travers le libellé et la logique booléenne qui structure son articulation et sa cohérence logique du point de vue mathématique.
C'est connu, dans certains textes articulés autour d'une succession de phrases déclinées dans un certain ordre itératif et appelées , je le rappelle, propositions en mathématiques ou syllogismes dans un certain genre littéraire, la première ou les premières d'entre elles, constitue l'hypothèse ou prémisse.
Entendons nous bien. J'écris prémisse avec "ss" et non " c" dans prémice , mot défini comme hypothèse d'avant garde ou d'annonce dans d'autres contextes d'analyse.
En prélude donc à ma démonstration de la légalité de la candidature du Président Macky Sall en 2024, en référence à la logique booléenne ,je vous saurais gré de bien vouloir me suivre dans un jeu de dilletantisme, à travers un exercice d'illustration qui ramène pour certains à leur adolescence dans leur scolarité au lycée.
Dans ce sillage, je fais le rappel suivant :
Étant données deux propositions notées A et B, A implique B, veut dire B sachant A avec A la condition nécessaire , B n'étant que la conséquence vraie ou fausse de la véracité ou de la fausseté de A et de la conclusion qu'on peut tirer de A implique B comme vraie ou fausse.
Il s'y ajoute que l'intérêt dans l'appréciation de B n'a de sens que si la pertinence de A est constatée.
Ce qui se traduit par : si A est vrai alors B est vrai ou dans certaines conditions d'hypothèses si A est faux alors A implique B est soit vraie ou fausse selon le statut de B.
Autrement dit, l'hypothèse A est ici la prémisse et que c'est elle qui conditionne la réalisation ou non de B.
Dès lors, rapporté à l'énoncé de l'article 27 de notre Constitution , le référentiel fondamental est la prémice majeure comme la condition nécessaire et même d'existence de sa conséquence et mieux, de son corollaire.
Application.
Prémisse ou condition nécessaire :
alinéa1 , proposition A
Le mandat est de cinq ans.
alinéa 2, proposition B
Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.
Conclusion :
A implique B;
A est vrai et B l'étant aussi donc A implique B est toujours vraie.
Autrement dit, si le mandat est de cinq ans et que nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs de cinq ans, alors il faut que le premier mandat soit de cinq ans.
Les deux alinéas doivent être lus en compréhension de simultanéité par la conjonction de coordination" et" donc connecteur logique qui traduit de façon intrinsèque l'expression " à la fois" .
L'énoncé de l'alinéa B enrobe l'alinéa A comme disposition non écrite littéralement,mais intrinsèquement tue et dissoute dans le libellé.
Il s'y ajoute que le premier mandat du Président Macky Sall a duré plus de cinq ans, ce qui met hors de décompte le premier mandat de Macky Sall de sept ans.
Donc le nombre de mandats exercés est indubitablement corrélé à la durée des mandats.
Ainsi donc, le Président Macky Sall n'aura fait qu'un seul mandat de cinq ans de 2019 à 2024, le mandat de 2012 à 2019 à duré sept ans, donc hors de portée du champ d'application de l'article 27 visé.
Au demeurant, selon certains juristes, ceux qui s'époumonnent sur une éventuelle rétractation verbale rapportée à l'aune de l'éthique ou de la morale politique, sur la base de propos tenus dans certaines circonstances, doivent aussi prendre en considération que celle ci ne saurait être prise comme une clause dirimante et rédhibitoire dans l'application d'une loi constitutionnelle .
Ainsi donc, au regard d'une bonne lecture sémantique, syntaxique et propositionelle,tant du point de vue cognitif dans le libellé de l'article que dans son articulation à travers sa cohérence logique au sens booléen dans le formalisme mathématique, la candidature du Président Macky Sall est dans le domaine du légalement possible , conformément à l'article 27 de la Constitution.
Et, entre le légalement possible, au regard de la Constitution et le souhaitable pour nous autres engagés indéfectiblement auprès du Président Macky Sall , c'est à lui de décider ou non de se représenter à la présidentielle de 2024 pour son second et donc dernier mandat.
Cela ne dépendra que de lui et de sa seule et unique volonté ou non de conquérir à nouveau les suffrages des Sénégalais, laquelle volonté étant le vœu le plus partagé et attendu dans le Département de Podor.
Mamadou Ndiaye Dia
Professeur de mathématiques à la retraite,
Ancien Chargé de Programmes UNESCO,
Conseiller municipal
Commune de Demette.
Adresse email : [email protected]
Téléphone 776338170.
C'est dans ce cadre que je me soumets à un exercice d'application sur un sujet politique qui fait débat au niveau de l'opinion publique.
Ce qui m'amène à convoquer une méthodologie fondée sur une argumentation connue des logiciens et adossée au registre de l'utilisation de symboles de liaison appelés connecteurs logiques dans un domaine spécifique des mathématiques appelé algèbre de Boole assorti de son langage sémiologique qui structure son formalisme didactique .
Sous ce rapport, il est fréquent de se confronter à ces outils de liaison , parmi eux, un symbole souvent transcrit par une flèche horizontale dirigée de gauche à droite et lu " implique" comme verbe connecteur.
Ce symbole est l'un des connecteurs utilisés dans le langage binaire comme fondement de sa logique de raisonnement .
Autrement dit, ce symbole ainsi transcrit, est un connecteur logique qui traduit l'expression suivante "si ..., alors...."
A titre d'exemple," s'il pleut, alors le sol est mouillé".
Pour rappel, pour ceux qui ont eu, dans leur parcours scolaire, en mathématiques, à établir des tables de vérité ou fonction de vérité en classe de seconde au lycée , les connecteurs logiques sont souvent les conjonctions de coordination "et ,ou" auxquelles s'ajoutent les connecteurs " implication" , " si et seulement si " qui n'est rien d'autre qu' une double implication ou équivalence , entre autres.
En outre, ces connecteurs n'ont que deux valeurs de vérité ; vrai ou faux.
A cet effet, pour revenir à l'énoncé de l'article 27 de la constitution qui met en jeu à la fois le nombre et la durée du mandat présidentiel du point de vue de la possibilité de son renouvellement ou non, au delà de la sémantique ou de la syntaxe dans sa rédaction en français , j'ai voulu apporter ma modeste contribution dans une analyse "litteralomathématique",excusez de ma turpitude dans ce faux néologisme, qui combine la forme cognitive dans sa quintessence littéraire à travers le libellé et la logique booléenne qui structure son articulation et sa cohérence logique du point de vue mathématique.
C'est connu, dans certains textes articulés autour d'une succession de phrases déclinées dans un certain ordre itératif et appelées , je le rappelle, propositions en mathématiques ou syllogismes dans un certain genre littéraire, la première ou les premières d'entre elles, constitue l'hypothèse ou prémisse.
Entendons nous bien. J'écris prémisse avec "ss" et non " c" dans prémice , mot défini comme hypothèse d'avant garde ou d'annonce dans d'autres contextes d'analyse.
En prélude donc à ma démonstration de la légalité de la candidature du Président Macky Sall en 2024, en référence à la logique booléenne ,je vous saurais gré de bien vouloir me suivre dans un jeu de dilletantisme, à travers un exercice d'illustration qui ramène pour certains à leur adolescence dans leur scolarité au lycée.
Dans ce sillage, je fais le rappel suivant :
Étant données deux propositions notées A et B, A implique B, veut dire B sachant A avec A la condition nécessaire , B n'étant que la conséquence vraie ou fausse de la véracité ou de la fausseté de A et de la conclusion qu'on peut tirer de A implique B comme vraie ou fausse.
Il s'y ajoute que l'intérêt dans l'appréciation de B n'a de sens que si la pertinence de A est constatée.
Ce qui se traduit par : si A est vrai alors B est vrai ou dans certaines conditions d'hypothèses si A est faux alors A implique B est soit vraie ou fausse selon le statut de B.
Autrement dit, l'hypothèse A est ici la prémisse et que c'est elle qui conditionne la réalisation ou non de B.
Dès lors, rapporté à l'énoncé de l'article 27 de notre Constitution , le référentiel fondamental est la prémice majeure comme la condition nécessaire et même d'existence de sa conséquence et mieux, de son corollaire.
Application.
Prémisse ou condition nécessaire :
alinéa1 , proposition A
Le mandat est de cinq ans.
alinéa 2, proposition B
Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.
Conclusion :
A implique B;
A est vrai et B l'étant aussi donc A implique B est toujours vraie.
Autrement dit, si le mandat est de cinq ans et que nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs de cinq ans, alors il faut que le premier mandat soit de cinq ans.
Les deux alinéas doivent être lus en compréhension de simultanéité par la conjonction de coordination" et" donc connecteur logique qui traduit de façon intrinsèque l'expression " à la fois" .
L'énoncé de l'alinéa B enrobe l'alinéa A comme disposition non écrite littéralement,mais intrinsèquement tue et dissoute dans le libellé.
Il s'y ajoute que le premier mandat du Président Macky Sall a duré plus de cinq ans, ce qui met hors de décompte le premier mandat de Macky Sall de sept ans.
Donc le nombre de mandats exercés est indubitablement corrélé à la durée des mandats.
Ainsi donc, le Président Macky Sall n'aura fait qu'un seul mandat de cinq ans de 2019 à 2024, le mandat de 2012 à 2019 à duré sept ans, donc hors de portée du champ d'application de l'article 27 visé.
Au demeurant, selon certains juristes, ceux qui s'époumonnent sur une éventuelle rétractation verbale rapportée à l'aune de l'éthique ou de la morale politique, sur la base de propos tenus dans certaines circonstances, doivent aussi prendre en considération que celle ci ne saurait être prise comme une clause dirimante et rédhibitoire dans l'application d'une loi constitutionnelle .
Ainsi donc, au regard d'une bonne lecture sémantique, syntaxique et propositionelle,tant du point de vue cognitif dans le libellé de l'article que dans son articulation à travers sa cohérence logique au sens booléen dans le formalisme mathématique, la candidature du Président Macky Sall est dans le domaine du légalement possible , conformément à l'article 27 de la Constitution.
Et, entre le légalement possible, au regard de la Constitution et le souhaitable pour nous autres engagés indéfectiblement auprès du Président Macky Sall , c'est à lui de décider ou non de se représenter à la présidentielle de 2024 pour son second et donc dernier mandat.
Cela ne dépendra que de lui et de sa seule et unique volonté ou non de conquérir à nouveau les suffrages des Sénégalais, laquelle volonté étant le vœu le plus partagé et attendu dans le Département de Podor.
Mamadou Ndiaye Dia
Professeur de mathématiques à la retraite,
Ancien Chargé de Programmes UNESCO,
Conseiller municipal
Commune de Demette.
Adresse email : [email protected]
Téléphone 776338170.
50 Commentaires
Matar
En Octobre, 2022 (17:34 PM)Mor
En Octobre, 2022 (15:38 PM)Tieuss
En Octobre, 2022 (17:49 PM)Je suis triste que ce soit un de mes professeurs de mathématiques qui défende aujourd'hui l'indéfendable, finalement dans un mépris total de tout ce que ce pays compte d'intelligences (y compris grâce à vous).
Dans la logique booléenne, la notion de nécessité est dominée par celle de la suffisance. L'exercice des mandats présidentiels n'est pas figé, il est dynamique. Et donc, pour vous rejoindre dans votre logique mathématique, il ne sort pas du néant et s'effectue selon des conditions initiales que nous connaissons tous, dans le cas d'espèce.
Qui plus est, ceux qui ont rédigé la Constitution ne sont pas visiblement pas des savants car, en toute logique, il eût été plus pertinent de placer la condition sur la durée du mandat après celle sur le nombre de mandats. Mais, cela illustre, encore une fois, le fait que la primauté doit être donnée à l'esprit de la loi. En République, il n'existe pas d'esprit suprême, tous les citoyens ont les mêmes droits et devoirs et tous, autant qu'ils sont, doivent se plier à la loi. Mais, bien évidemment, sous nos tropiques, encore empreints de l'éducation coloniale, beaucoup persistent à penser que le Peuple est bête, n'a pas la même dignité que les gouvernants, et doit se faire expliquer les plus plates banalités.
C'est dommage, car j'avais gardé un excellent souvenir de vous. Dommage que ce soit vous qui, par ces écrits, deviez me rappeler qu'en République, la plus grande richesse d'un homme politique est sa capacité à obéir, non pas à ses intérêts, sa famille, son camp, son ethnie, sa tribu, son parti ou sa région, mais à la vérité et à l'intérêt supérieur de la Nation, dans le strict respect des lois et de leur Esprit.
Le Sénégal nous dépasse tous, autant que nous sommes. Il n'appartient spécifiquement à aucun de nous. Nous en avons hérité et jusq'aujourd'hui, beaucoup de nos semblables nous l'envient. Restons dignes de l'héritage de toutes ces générations d'ancêtres, y compris ceux qui l'ont payé de leur vie, comme El Hadj Omar TALL, Lat Dior et beaucoup d'autres.
Très respectueusement.
Koto
En Octobre, 2022 (17:53 PM)Macky Korr Marieme Faye
En Octobre, 2022 (17:57 PM)Warou Ssi Mim Réw
En Octobre, 2022 (18:23 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (20:50 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (18:13 PM)Sénégalais
En Octobre, 2022 (18:16 PM)Abdou Kane Q
En Octobre, 2022 (18:19 PM)Le Peuple Souverain s exprime
Nul n a besoin d etre diplome pour comprendre cela
Warou Ssi Mim Réw
En Octobre, 2022 (18:20 PM)Populisme Illogique
En Octobre, 2022 (18:33 PM)Et Pourtant
En Octobre, 2022 (18:56 PM)Ddr
En Octobre, 2022 (18:56 PM)alors que fais tu de la Phrase" Nul ne peut exercer deux(02) mandays consécutifs?
Soit vous ne savez pas lire le français dans ce cas c'est très grave pour un mathématicien
soit vous faite fi sciamment de cette phrase et c'est encore plus grave car vous entrenez la galerie d'une façon à semer l'ignorance tout azimut. Au demeurant les sénégalais sont murs et hyper intelligents à votre détriment.
Meme un éléve de l'école primaire n'aurait aucune peine à vous dammer le pion.
Heureusement qu'il est a la retraite!!1
Demba Sow
En Octobre, 2022 (19:13 PM)La jurisprudence de la 3 ème candidature de wade avec ses conséquences ;
L esprit de la révision de 2016 surtout pour régler définitivement cette problématique
Et enfin le concerné lui même le PR pour avoir clairement écarter toute possibilité de candidature.
Donc avec tout le respect; évitons a notre cher pays des lendemains incertains .
Je perçois aussi un certain ethnicisme dans les soutiens de macky.
Les sénégalais sont vigilants.
Ils ont compris maintenant.
2024 n'est pas loin.
Zmajuscule
En Octobre, 2022 (21:36 PM)Samba Dieng
En Octobre, 2022 (23:18 PM)SÉnÉgalais
En Octobre, 2022 (23:45 PM)Ce soit-disant mathématicien vient tout simplement de dire que la période de 7ans, 2012 -2019 est tout bonnement nulle, égale à zéro (0) mandat.
Les maths ne mentent pas mais un prof de maths peut être un DANGEREUX MENTEUR.
Libre Opinion
En Octobre, 2022 (00:07 AM)il ne sait même pas qu'il est en face de deux règles de droits et chacune d'elles a son syllogisme, son implication comme il préfère parler "mathématiques".
Première règle de droit introduite dans la constitution en 2016 : "La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans" mais avant 2016 elle était de sept ans. Implication : le premier mandat de Macky (2012-2019) ayant commencé en 2012 et la loi n'étant pas rétroactive, il peut bel et bien durer sept ans mais n'en reste pas moins UN PREMIER MANDAT.
Deuxième règle de droit introduite en 2001 : "Le mandat est renouvelable une seule fois", puis puis consolidé en 2016, "nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs". Implication : le premier mandat de Macky étant compté en vertu de la limitation des mandats de 2001, il est consécutif à son second mandat (2019-2024), donc il ne peut pas prétendre à un troisième mandat, encore moins à un second quinquennat, en vertu de l'interdiction légale de renouveler son mandat plus d'une fois. Il a, en d'autres termes, tiré toutes ses deux cartouches.
Ce n'est pas un mathématicien, dusse-t-il s'appeler Mamadou Ndiaye Dia, qui viendra nous dire le contraire sans verser dans la malhonnêteté intellectuelle et la roublardise politique.
Sonko
En Octobre, 2022 (01:16 AM)Votre Eleve Du Lycee Smine Gue
En Octobre, 2022 (01:29 AM)Cet article 27, c'est du français facile. Celui qui l'a rédigé, en a fait une explication de texte. Très simple ! Et quand c'est trop simple, on a tendance à aller chercher des pièges. Les juristes politicards incapables de trouver le piège, cèdent leur place aux matheux et apres ce sera aux philosophes de régler la question: par la morale !!!
Ngor Jegaan
En Octobre, 2022 (10:51 AM)Ne Vous Fatiguez Pas.
En Octobre, 2022 (12:12 PM)Mbokk
En Octobre, 2022 (13:06 PM)Mamekhadim
En Octobre, 2022 (14:38 PM)boulen gnou fonnto
mandat 5 ans ho mandat 7 ans ho
deux mandats lagnou wx
et avant que maky ne soit president la constitution le disait
avant c etait 7 ans maintenant c 5 ans
maky lui meme disait vouloir reduire sonpremier mandat a5 ans son premier mandat sonpremier premier premier pour mou leer
kougi wax waxi 3eme mandt dagn lay gnouss
Zapp
En Octobre, 2022 (14:42 PM)Guilé De Ndangalma
En Octobre, 2022 (15:41 PM)Lams
En Octobre, 2022 (15:43 PM)Haymout Mbodj
En Octobre, 2022 (16:05 PM)Faux_implique_vrai
En Octobre, 2022 (16:35 PM)- un mandat de 7 ans (non comptabilisable car A="la durée du mandat est de 5 ans" est faux)
- un mandat 4 ans (non comptabilisable car A="la durée du mandat est de 5 ans" est faux)
Ce qui implique qu'en termes de décompte de mandats (de cinq ans selon votre logique), Macky Sall serait encore à zéro (0) mandats. RI-DI-CU-LE-
Votre erreur vient de votre hypothèse "Les deux alinéas doivent être lus en compréhension de simultanéité par la conjonction de coordination" et" "
Non : ces deux assertions ont des dimensions temporelles différentes.
La première prend effet à partir du référendum. Personne ne dira par exemple que les mandats de Senghor, Diouf et wade ne sont pas valables car ne respectant pas le premier de nos deux alinéas.
Le second alinéa, ici, n'a pas de limitation dans le temps; ni antérieur, ni postérieur. Il prend en compte tous les mandats, antérieurs au référendum et/ou postérieurs au référendum !!! Parce que en mathématique, en logique, si vous ne fixez pas le domaine de définition de votre étude, nous considérons que vos assersions sont valables partout.
Désolé, cher ami. Il faudra repasser ...
Profess
En Octobre, 2022 (18:11 PM)Le raisonnement mathématique ne s'accorde pas avec de la logique politicienne qui n'a échappé à personne d'autre que celui qui vous a laissé partager ce navet.
Car, si dans un sens vous étiez bien parti je m'attendais que sans l'autre vous reveniez nous expliquer ce que vous faites du mandat de 7 ans exécuté.
A vous entendre, 7 = 0 !
Si la nouvelle mesure standard d'une canette de bière est de X centimètre si vous posez une cannette de taille dite normale avec une autre canette de taille double le soûlard que je suis verra toujours 2 canettes, n'est ce pas ?
Pourquoi diable voulez vous que:
1 mandat de 7 ans + 1 mandat de 5 ans = 1 mandat ?
Pourquoi diantre n'essayez vous pas la logique suivante:
1 mandat de 7 ans + 1 mandat de 5 ans = 2,4 mandats ?
Allez, faites un effort... allez vous coucher !
Encoremoi
En Octobre, 2022 (18:49 PM)Quand Macky Sall aura terminé son mandat en cours il aura fait 2,4 mandats de 5 ans, soit 2 ans de trop au pouvoir. Envisagez vous de lui demander de nous rembourser le trop perçu ?
Lebougui
En Octobre, 2022 (20:25 PM)Boytown
En Octobre, 2022 (07:39 AM)Nkhson
En Octobre, 2022 (08:32 AM)Au-delà du raisonnement assez tronqué de la constitution de la part de Monsieur le Professeur mathématicien de l’abstrait, les valeurs morales, culturelles et religieuses demeurent primordiales. Dans ce sens le respect de la parole donnée sonne comme un engagement solennel devant Dieu le Créateur Absolu, Allah(SWT) et devant les hommes. En ce sens, cet engagement ne devrait en aucun cas être trahi, mais plutôt scrupuleusement respecté. Car dans ce monde, la confiance qui fonde la crédibilité devrait être préservée par tout chef, digne de mener la destinée d'un peuple. Pour progresser, nous n'avons point besoin de dirigeants qui versent dans la tortuosité et le mensonge déshonorant. Enfin je rappelle qu'Allah(SWT) maudit le reniement de la parole donnée à travers sa Vérité Absolue, le Saint Coran:
« Ô vous qui avez cru ! Pourquoi dites-vous ce que vous ne faites pas ? » S61-V2
« C'est une grande abomination auprès d'Allah que de dire ce que vous ne faites pas. » S61-V3.
Nous n'avons pas besoin de dirigeants qui ne croient point en ce discours et devraient être forfaits pour diriger un pays de croyance. De tels hommes maudits de Leur Seigneur sont très habilités à corrompre et pervertir leur peuple. Il est grand temps d’opérer une révolution en choisissant la meilleure élite apte à gérer de façon juste et efficiente notre pays. Aujourd’hui il nous appartient de prendre notre destinée en main, afin d'écarter de la course au pouvoir tous ces prétentieux faussaires et autres escrocs politiques, dopés par le mensonge et motivés uniquement par leurs seuls intérêts politiciens. Il y va de notre salut national pour aboutir à une réelle émergence, suscitée par les énormes potentialités que regorge notre pays et réalisée grâce la clairvoyance de patriotes authentiques.
Formule_mandat_presidentiel
En Octobre, 2022 (08:45 AM)"NUL NE PEUT FAIRE PLUS DE 2 MANDATS CONSECUTIFS."
CQFD.
Bref, votre raisonnement est faux car vos hypothèses sont fausses. Macky dégagera dans 14 mois
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