
Il faut aller savoir avec ce nouveau gouvernement ! Incompétence, maladresses, amateurisme, désir de vengeance contre des adversaires ? Rien ne peut expliquer, encore moins justifier la sortie problématique du Premier ministre. Il y a à boire et à manger dans la dernière conférence de presse d’Ousmane Sonko, accompagné en particulier de son ministre de l’Économie et du Plan.
Ce matin, un journaliste s'est présenté à moi, pour me demander de réagir aux propos tenus jeudi après-midi par le chef du gouvernement et par son ministre de l’Économie sur les comptes publics. Je lui expliquais que je n'avais pas encore suffisamment analysé ce qui avait été dit pour pouvoir réagir. Sincèrement, j’ai beaucoup hésité à tenter de répondre à certaines affirmations faites par nos gouvernants au cours de la conférence de presse. J’avais alors fini par lui indiquer que je ne disposais pas d'éléments factuels assez significatifs pour lui donner une réaction utile.
C'est ainsi que mon interlocuteur m’invita à parler d’autre chose qui s'inscrit en réalité en droite ligne de sa première demande. Il sortit alors de la mémoire de son ordinateur portable un document en format PDF. Un immense document de plus d'une certaine de pages. Mon interlocuteur m'indiqua que c’était là, le projet gouvernemental, sous l'appellation de Stratégie Nationale de Développent (SND). Un nouveau référentiel des politiques publiques qui va succéder au Plan Sénégal Émergent (PSE).
Ensemble, mon visiteur et moi, avons parcouru le document en question sur au moins une quarantaine de pages sur lesquelles figurent beaucoup de statistiques officielles, ayant servi de base de travail pour asseoir la démarche conceptuelle du nouveau référentiel des politiques publiques. Les statistiques majeures trouvées concernent notamment la détermination de l'objectif général attaché à la SND, ainsi que la définition des objectifs spécifiques du projet. Elles concernent aussi les choix arrêtés pour la détermination des résultats attendus de la mise en œuvre de la nouvelle stratégie. Ces statistiques citées indiquent surtout les repères ayant servi, pour conduire la tâche incontournable d'analyse de l'état de l'économie nationale (état des lieux).
La convocation des statistiques officielles qui, en définitive, ont orienté la démarche des concepteurs de la Stratégie Nationale, se sont finalement révélées fausses. C’est du moins ce qu’ont expliqué aux Sénégalais le Premier ministre et le ministre de l’Économie, lors de leur conférence de presse, ce jeudi 26 septembre 2024. Les autorités, je suppose, n’en ont été informées qu’après la rédaction finale du document présentant la SND. Sinon, ils en auraient sûrement parlé aux concepteurs du projet. Cela leur aurait permis d’éviter de citer en abondance les statistiques officielles dans le référentiel des politiques publiques conçu pour les cinq ans à venir.
Cela a pu constituer des biais substantiels dans la connaissance des faits à partir desquels ils ont travaillé. La falsification de la réalité économique du pays n’aura pas aidé à produire un document fiable à tous points de vue. Au moment où les experts engageaient leurs travaux scientifiques et techniques en vue de produire le document de la SND, les faussaires n’étaient pas encore identifiés et connus des Sénégalais. Si les accusations portées contre le régime sortant s'avéraient vraies, ce dont je doute, la copie finale qui consigne la SND, devrait impérativement être reconsidérer et corriger, pour être en adéquation avec la valeur réelle et probante des statistiques fournies par le ministre de l’Économie, au cours de la conférence de presse. Pourquoi avoir pris, comme référence des statistiques, que l'on savait, au départ, truquées, dans le travail d'élaboration de la SND ? La chaîne des faussaires est large. Elle va au-delà des responsables politiques clairement identifiés devant son micro par le PM. Il va falloir aussi débusquer d’autres responsables, c’est-à-dire tous ces techniciens qui auraient aidé à falsifier les données. Ils sont nombreux dans les rouages de l’Etat. Il va falloir aussi en débusquer à l'Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), au Ministère des Finances et du Budget, de l’Économie et du Plan. Nous voulons parler de tous ceux qui ont pris part à la mascarade.
Que faire des juges de la Cour des comptes qui ont préparé les différentes lois de règlement, des années (2019, 2020, 2021 et 2022), ayant certifié les comptes publics enregistrés au cours de ces quatre ans d’exercice budgétaire ? Sans oublier les députés de la Nation qui les votent. Que faut-il dire de plus ? Peu de choses, je pense ! Sinon, s'étonner de la façon dont a procédé le gouvernement pour justifier les propos imprudents du Premier ministre qui a affirmé que les nouvelles autorités ont hérité d’un État en ruine. Comment un Premier ministre peut-il se venger de cette manière contre des adversaires ou plutôt contre « des ennemis politiques », quand on est placé à un aussi haut niveau de responsabilité ? Par la manière dont il s’y est pris, le Premier ministre et son équipe compromettent dangereusement le pays ? Ils ont pris sur eux, le gros risque de compromettre l’avenir de tout un pays sur les marchés financiers du monde, en prétendant que toutes les statistiques nationales sont truquées, sur la seule base de généralités économiques sans consistance pratique visible. Ousmane Sonko fait dans une dramaturgie sans nom. Il essaie d’énumérer les éléments de la catastrophe contée. Tout y passe, des contrats d’armements cachés, des marchés publics dissimulés, etc.
Par ailleurs, son ministre de l’Économie annonce un taux d’endettement de l’ordre de 83%, du total de notre Produit intérieur brut (Pib). Il fait cette annonce tout en expliquant aux citoyens que cet endettement est pourtant bien soutenable. Si le ministre de l’Économie dit vrai, de qui veut-on alors se moquer, en imposant à notre économie une limite d’endettement d’un taux de l’ordre de 70%. Pourquoi nous opposer des taux factices, j’allais dire, alors que nous sommes en mesure de dépasser les plafonds fixés, tout en restant dans les normes d’une économie saine. Manifestement, le ministre Abdourahmane Sarr ne semblait pas s’inscrire dans une logique de démolition catastrophée, à l’image de son patron. Il s’est montré pudique, surtout dubitatif, face aux termes du déballage et des attaques à peine voilées contre le Fonds Monétaire International. Je rappelle que le ministre a servi, pendant plus de deux décennies, au FMI.
A cet égard, il m’est agréable de lui demander, si l’adhésion de notre pays à la Norme Spéciale de Diffusion des Données Statistiques (NSDD) du FMI, pourrait laisser passer pour le Sénégal, ce type de maquillage grossier, opéré en présentant la situation économique, budgétaire en particulier, dont son gouvernement accuse le régime sortant ? Rappelons ce qu’est la norme spéciale de diffusion des données (NSDD). Elle a été créée en 1996 par le FMI pour aider les pays membres – qui ont ou pourraient chercher à avoir accès aux marchés internationaux de capitaux – à communiquer des données économiques et financières importantes au public. L'année suivante, le FMI a créé la norme générale de diffusion des données (NGDD), qui vise à préparer les pays à satisfaire aux exigences de la NSDD.
Au terme d’un choix bien sélectif, le Sénégal a été admis dans ce club. La participation à cette norme permet au FMI d’encadrer et de conduire les pays à diffuser des statistiques officielles crédibles. « Il s’agit des données fournies par les pays souscrivant à la NSDD, ainsi que les informations fournies par les pays participant. Un guide a été élaboré à cet effet. Il a pour objectif d'aider les souscripteurs à la NSDD, à se familiariser avec ses caractéristiques et son champ d’application ». Ce guide vise à compléter les initiatives du FMI « en matière de transparence et de normes relatives aux données, à améliorer la publication de statistiques internationales complètes et à jour, et de contribuer ainsi aux efforts entrepris par les pays pour adopter des politiques macroéconomiques saines, ainsi qu'à l'amélioration du fonctionnement des marchés financiers mondiaux ».
Si tout ceci a été accepté par notre pays pour adhérer à la norme, ce n’est sûrement pas pour se mettre après à falsifier ses données économiques. Soyons plus sérieux dans les propos que nous tenons à nos peuples !
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73 Commentaires
Bouba
En Septembre, 2024 (11:41 AM)- Je me suis acheté un vélo à 5 millions
- Une belle voiture à 100 millions
- J’ai caché 100 millions dans mon compte personnel au cas où je fuirai en cas d’impayés
- J’ai refectionné la maison familiale histoire de calmer les autres membres de la famille. J’y ai mis 10 millions. Ouf toute la famille me remerciait car notre bâtiment était en ruine.
- j’ai filé à mes proches amis et ceux qui sont censés faire mes louanges 25 millions
Tous les jours on mange du bon thieb bien huilé et des gigots d’agneau
En moins d’un mois mon petit frère est revenu de voyage de la Côte d’Ivoire et m’a chassé de la maison quand il a appris le pot au rose
1/Certains disent que je suis meilleur que tous les membres de la famille car moi j’ai apporté un changement
2/ D’autres me traitent de truands, voleur et égoïste (j’avoue j’ai assuré mon avenir et ceux de mes enfants)
On a fui et sommes partis loin du Sénégal
3/ Moral: pour ceux qui disent que Macky Sall a changé le visage du Sénégal, oui évidemment mais avec autant de milliards un étudiant de l’ucad aurait fait mieux que ce qu’il a fait. Quand on découvrira la vrai dette que devra endosser chacun des sénégalais on se rendra compte que ces singes du gouvernement précédant ont saboté et détruit les récoltes avant de quitter les champs
Reply_author
En Septembre, 2024 (11:52 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:04 PM)Votez massivement pour PASTEF le 17 novembre si :
- Vous voulez l'instauration d'une Cour de justice chargée de poursuivre les ministres ayant détourné de l'argent public, (L'assemblée Nationale doit obligatoirement voter pour instaurer la Cour de justice)
- Vous voulez que la loi d'amnistie soit abrogée pour poursuivre ceux qui ont tué les gendarmes, ceux qui ont tué les dizaines de sénégalais, les magistrats qui ont arbitrairement emprisonné des milliers de sénégalais, (L'assemblée Nationale doit obligatoirement voter pour abroger la loi d'amnistie)
- Si vous voulez des poursuites contre l'ex dictateur pour Haute trahison (L'assemblée Nationale doit obligatoirement voter pour le poursuivre)
- Si vous voulez supprimer les instituons qui coûtent trop cher et qui ne servent à rien (L'assemblée Nationale doit obligatoirement voter pour les supprimer)
- Vous voulez le vote d’une loi qui criminalise le détournement de deniers publics et la fraude fiscale (Une loi doit être votée à l’Assemblée en ce sens).
Reply_author
En Septembre, 2024 (12:27 PM)Mais il doit se rendre compte qu’il est PM et le Sénégal intelligent l’écoute.
Donc il doit cesser ces âneries et se concentrer à developper ce pays.
Point final
Reply_author
En Septembre, 2024 (12:50 PM)Karim-usa
En Septembre, 2024 (13:04 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (13:52 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (16:20 PM)Avez-vous constaté comme moi que les vendeurs de voitures d’occasion ont des parcs auto de plus en plus plein ….
Avez-vous constaté l’augmentation des agressions….
Avez-vous constaté qu'il n'y a plus d'embouteillage dans les banques à toutes les périodes du mois ! Bientôt les embouteillages des véhicules seront réduits. A la fin, même ceux qui ont supporté sans réfléchir ce changement systémique vont bien comprendre qu'ils ont été utilisés, parce que beaucoup d'entre eux seront en difficulté financière et ne pourront plus patienter 2 ans ou 3 voire plus.
Reply_author
En Septembre, 2024 (01:47 AM)Le problème avec les ânes et les imbéciles qui soutiennent le Pastef, c'est que c'est des idiots qui, même quand Sonko le gros fennkat international faisait caca dans leur soupe, ils diront que c'est du cube maggie.
75% de l'audience et des supporters de Sonko sont des illettrés qui n'ont jamais lu un livre. Ils apprennent par radio cancan et comme Sonko lui-même sait que c'est des crétins, ils s'en donne à coeur joie.
Mentir ne tuera pas Sonko car il a menti pour être premier ministre.
Reply_author
En Septembre, 2024 (08:40 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (11:03 AM)Reply_authori Top
En Septembre, 2024 (11:24 AM)Sirigne Mountakha Mbacké Balla
En Septembre, 2024 (11:42 AM)Lam hooo…
Reply_author
En Septembre, 2024 (12:51 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:51 PM)Ddd
En Septembre, 2024 (11:43 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:51 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:51 PM)Maintenant il peut reprendre sa plume apres s'être enrichi.
Vrai domarame.
Deug
En Septembre, 2024 (11:49 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:21 PM)Xxx
En Septembre, 2024 (11:53 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:21 PM)@ 12:21 Pm
En Septembre, 2024 (13:14 PM)Donc c’est pas étonnant que vous ayez falsifié les chiffres de l’économie. Et si tu nous dit que le projet est vide, c’est encore un autre de vos nombreux mensonges. Doulkat you bone yi.
Xxx
En Septembre, 2024 (11:53 AM)Dkr
En Septembre, 2024 (11:55 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:23 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (12:23 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (13:17 PM)Patriotisme
En Septembre, 2024 (12:04 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (13:22 PM)Donc ta définition de la responsabilité n’est pas la notre. Fenn, satch ak masla dou responsabilité.
@ Patriotisme
En Septembre, 2024 (16:29 PM)Latif Celui Défend Un Voleur E
En Septembre, 2024 (12:07 PM)As
En Septembre, 2024 (12:09 PM)Le Sénégal En Danger
En Septembre, 2024 (12:12 PM)Sénégal En Danger_author
En Septembre, 2024 (21:19 PM)Diouf
En Septembre, 2024 (12:17 PM)Senegalais
En Septembre, 2024 (12:19 PM)Tu es en train de dégringoler dans le cœur des sénégalais
Djibson
En Septembre, 2024 (14:33 PM)Et même dans cette logique, peut-être que lui AIME PLUS le Sénégal ou la VÉRITÉ que son propre frère.
Trop primaires.
Lebaolbaol Tigui
En Septembre, 2024 (12:21 PM)Nafi
En Septembre, 2024 (12:26 PM)voila ce que Sonko fait du senegal
Niaga
En Septembre, 2024 (12:29 PM)Niaga
En Septembre, 2024 (12:29 PM)Kedire
En Septembre, 2024 (12:39 PM)S'agissant des chiffres qu'on cache au FMI, cette pratique ne date pas d'aujourd'hui et les techniciens du Ministère des Finances le savent très bien.
Kan
En Septembre, 2024 (12:41 PM)Voisin
En Septembre, 2024 (12:43 PM)Il est le premier ministre de quel pays alors ?
Très inquiètant
Fall
En Septembre, 2024 (12:45 PM)Mohamed Lo
En Septembre, 2024 (12:54 PM)Tann
En Septembre, 2024 (13:25 PM)Le FMI n’y croit pas car le Sénégal adhére depuis longtemps à la NSDD. Il faut montrer patte blanche pour y être. En Afrique, il n’ya que 6 pays africains qui ont techniquement satisfait à toutes les conditionnalités extrêmement difficiles.
La Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI est un ensemble de normes élaboré par le Fonds Monétaire International (FMI) en 1996 pour guider les pays membres dans la diffusion de leurs données économiques et financières au public. Cette norme a été mise en place dans le but d'améliorer la transparence, la comparabilité et la qualité des données statistiques, ce qui est crucial pour les investisseurs, les analystes et les décideurs politiques.
Les principaux objectifs de la NSDD :
1. Amélioration de la transparence : Encourager les pays à publier régulièrement des données économiques et financières fiables, ce qui favorise la confiance des marchés.
2. Promotion de bonnes pratiques : Offrir des lignes directrices sur la façon dont les données doivent être présentées, incluant leur périodicité et leur actualité.
3. Facilitation de la comparabilité internationale : Assurer que les données diffusées soient comparables d'un pays à l'autre.
Les exigences de la NSDD :
• Couverture des données : Les données doivent inclure des informations sur les secteurs économiques tels que les finances publiques, la dette publique, les statistiques de balance des paiements, les indicateurs de l'économie réelle, etc.
• Périodicité et actualité : Les pays doivent respecter un calendrier de publication préétabli pour garantir l’actualité et la fréquence des données.
• Accès au public : Les informations doivent être facilement accessibles au public via des plateformes dédiées comme le site Web du FMI ou les sites nationaux.
• Intégrité et qualité : Les pays doivent fournir des informations sur les méthodologies utilisées et les pratiques d’assurance de la qualité.
La NSDD est considérée comme un outil important pour renforcer la crédibilité des politiques économiques d’un pays et pour promouvoir la stabilité financière internationale.
Actuellement, six pays africains adhèrent à la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI. Ces pays sont :
• Namibie
• Maurice
• Sénégal
• Maroc
• Tunisie
• Afrique du Sud
Namibie est le plus récent pays africain à avoir rejoint la NSDD en décembre 2022
Comment peut-on accuser les hommes politiques de l'ancien régime et oublier Mimi Touré, Mary Teuw Niane et Mr Diba l'ancien directeur de la programmation budgétaire !
S'il y a eu des falsifications, donc la cour des comptes, les directions du ministère des Finances et l'ANDS n'ont pas fait leur travail. Pourquoi Sonko préfère citer des adversaires politiques comme Amadou Bâ et Moustapha Bâ et oublier toute la chaîne ?
Il ment et ne respecte pas les sénégalais.
N'avait-il pas accusé Alioune Sall d'avoir détourné 4000 milliards avant les élections locales pour ternir son image ? Ce qui a poussé les habitants de Guediawaye de se séparer d'un de leurs meilleurs maires pour élire un gougnafier inculte et arriviste.
Sonko sait que la majorité des jeunes lui a tourné le dos. Non seulement il leur a menti mais il les a trahis en les jettant au chômage par les déguisements qui fait perdre des milliers de jeunes leurs gagne-pain quotidien. Il sait aussi qu'il a beaucoup à perdre dans ses discours en vers l'école catholique. Il sait aussi que Cheikh Oumar Diagne a créé un desamour entre Sonko et les familles religieuses. La gestion scandaleuse des inondations par son nullard de ministre de l'hydraulique Diéye et l'immigration clandestine des jeunes qui a atteint un niveau jamais égalé vont jouer sur les législatives, alors Mr reprend son jeu de manipulation et de mensonges pour discréditer les membres de l'ancien régime et bénéficier d'un vote massif aux législatives.
C'est un menteur et leur projet est basé sur les acquis du PSE. Comment peut-on dire que le pays est en faillite et se baser sur cette faillite pour produire une stratégie ?
Il ment et il sait que les sénégalais savent qu'il ment mais il va continuer à mentir jusqu'à son dernier souffle.
Citoyen
En Septembre, 2024 (14:40 PM)Xxxxxxxxxxxxxxx
En Septembre, 2024 (14:42 PM)C'est impossible. Ceux qui soutiennent Ousmane sonko dans cette entreprise sont aussi nuls que leur maître.
Mais comme mentir est une habitude.
Chassez le naturel et il revient au galop.
Tu as dit qu'un journaliste a sorti de son ordinateur un document de 100 pages pour te dire que c'est la SND et tu as saute sur l'occasion piur deverser ta haine sur Sonko et le nouveay regile apres avoir ete complice pendant 12 ans des crimes de sang et economiques les plus odieux de notre histoire
Latif tu n'es pas l'intellectuel que tu pretends etre mais attends au moins la publication officielle de la SND avant d'emettre des critiques
Ensuite apporte un dementi formel avec des chiffres tu etais au coeur du pouvoir
Moussa Ngom .
En Septembre, 2024 (16:00 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (16:08 PM)Mamadou Sarr
En Septembre, 2024 (16:07 PM)Quelques Fautes En Moins
En Septembre, 2024 (16:09 PM)devrait être
" la copie finale qui consigne la SND, devrait impérativement être reconsidérée et corrigée, pour être en adéquation avec la valeur".
Sinon, c'est une belle réflexion, malheureusement, ce niveau d'analyse est inaccessible à beaucoup de sénégalais (l'âge médian est de 19 ans, 75% de la population a moins de 25 ans).
La quotation de la dette souveraine di Sénégal a commencé à plonger, la suite on la connaît : ce sera très dûr pour les séngélais.
Babs
En Septembre, 2024 (16:34 PM)Madoff
En Septembre, 2024 (16:46 PM)Comment croire que son frère était innocent quand le pds l'accusait de corrompu?
Arrêter de jouer avec l'intelligence des Sénégalais.
Nafi
En Septembre, 2024 (18:43 PM)À l’issue de la mission, M. Gemayel a fait la déclaration suivante :
« La situation sociopolitique tendue a pesé sur l'activité des secteurs du commerce et des services au cours du premier semestre de cette année, ce qui a conduit à une révision à la baisse des prévisions de croissance du PIB, qui sont passées de 5,3 % à 4,1 %. L'inflation en glissement annuel est tombée à 5,7 % en juillet, mais de nouvelles pressions inflationnistes provenant de certains produits alimentaires de base (riz, oignon, sucre) sont apparues récemment, et les prévisions pour l'inflation moyenne en 2023 ont été révisées à la hausse, passant de 5 % à 6,1 %. Les conditions financières sur le marché régional demeurent tendues. L'exécution du budget jusqu'à la fin du mois de juin a été globalement conforme aux objectifs du programme. Toutefois, l’atteinte des objectifs du programme de fin décembre nécessitera des efforts supplémentaires en matière de mobilisation des recettes.
« Malgré le retard dans le démarrage de la production d'hydrocarbures, les perspectives macroéconomiques restent favorables. En 2024, la croissance du PIB réel devrait atteindre 8,8 %, stimulée par le démarrage de la production de pétrole et de gaz. La croissance hors hydrocarbures devrait remonter à 6 %. Les autorités sont déterminées à poursuivre les efforts d'assainissement budgétaire afin de reconstituer des réserves budgétaires et réduire les vulnérabilités croissantes de la dette publique. À cette fin, le projet de budget 2024 table sur un déficit budgétaire de 3,9 % du PIB. Les autorités sont encouragées à rationaliser les exonérations fiscales et à accélérer la mise en œuvre de la stratégie des recettes à moyen terme (SRMT). Elles doivent également prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer l'élimination progressive des subventions à l’énergie (1 % du PIB en 2024), comme le prévoit la feuille de route adoptée en janvier dernier.
« La mission salue les progrès réalisés dans la mise en œuvre des mesures de réforme convenues dans le cadre du programme soutenu par la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD). Les réformes à court terme comprennent l'adoption d'un décret qui aidera à intégrer les considérations climatiques à toutes les étapes de la gestion des investissements publics et la définition de priorités stratégiques pour aller vers des transports publics plus écologiques. La mission est encouragée par l'engagement des autorités à faire du renforcement de la résilience au changement climatique un pilier central de la stratégie nationale de développement actualisée (PAP3), qui devrait être finalisée d'ici la fin de l'année.
« L'équipe du FMI remercie les autorités et les autres partenaires pour leur excellente coopération et les discussions franches et constructives au cours de la visite. Les discussions pour la première revue au titre des accords de la Facilité Elargie de Crédit (FEC), du Mécanisme Elargi de Crédit (MEC) et de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD) sont prévues pour octobre 2023.
« Au cours de la visite, l'équipe du FMI a été reçue en audience par son excellence, Monsieur le Premier ministre, Amadou Ba. Elle a également rencontré le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba ; le Directeur National de la BCEAO, Ahmadou Al Aminou Lo ; des hauts fonctionnaires ; des partenaires au développement ; ainsi que des représentants des milieux d'affaires et de la société civile. »
Département de la communication du FMI
RELATIONS AVEC LES MÉDIAS
ATTACHÉ DE PRESSE: Tatiana Mossot
TÉLÉPHONE:+1 202 623-7100COURRIEL: [email protected]
Nafi
En Septembre, 2024 (18:43 PM)À l’issue de la mission, M. Gemayel a fait la déclaration suivante :
« La situation sociopolitique tendue a pesé sur l'activité des secteurs du commerce et des services au cours du premier semestre de cette année, ce qui a conduit à une révision à la baisse des prévisions de croissance du PIB, qui sont passées de 5,3 % à 4,1 %. L'inflation en glissement annuel est tombée à 5,7 % en juillet, mais de nouvelles pressions inflationnistes provenant de certains produits alimentaires de base (riz, oignon, sucre) sont apparues récemment, et les prévisions pour l'inflation moyenne en 2023 ont été révisées à la hausse, passant de 5 % à 6,1 %. Les conditions financières sur le marché régional demeurent tendues. L'exécution du budget jusqu'à la fin du mois de juin a été globalement conforme aux objectifs du programme. Toutefois, l’atteinte des objectifs du programme de fin décembre nécessitera des efforts supplémentaires en matière de mobilisation des recettes.
« Malgré le retard dans le démarrage de la production d'hydrocarbures, les perspectives macroéconomiques restent favorables. En 2024, la croissance du PIB réel devrait atteindre 8,8 %, stimulée par le démarrage de la production de pétrole et de gaz. La croissance hors hydrocarbures devrait remonter à 6 %. Les autorités sont déterminées à poursuivre les efforts d'assainissement budgétaire afin de reconstituer des réserves budgétaires et réduire les vulnérabilités croissantes de la dette publique. À cette fin, le projet de budget 2024 table sur un déficit budgétaire de 3,9 % du PIB. Les autorités sont encouragées à rationaliser les exonérations fiscales et à accélérer la mise en œuvre de la stratégie des recettes à moyen terme (SRMT). Elles doivent également prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer l'élimination progressive des subventions à l’énergie (1 % du PIB en 2024), comme le prévoit la feuille de route adoptée en janvier dernier.
« La mission salue les progrès réalisés dans la mise en œuvre des mesures de réforme convenues dans le cadre du programme soutenu par la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD). Les réformes à court terme comprennent l'adoption d'un décret qui aidera à intégrer les considérations climatiques à toutes les étapes de la gestion des investissements publics et la définition de priorités stratégiques pour aller vers des transports publics plus écologiques. La mission est encouragée par l'engagement des autorités à faire du renforcement de la résilience au changement climatique un pilier central de la stratégie nationale de développement actualisée (PAP3), qui devrait être finalisée d'ici la fin de l'année.
« L'équipe du FMI remercie les autorités et les autres partenaires pour leur excellente coopération et les discussions franches et constructives au cours de la visite. Les discussions pour la première revue au titre des accords de la Facilité Elargie de Crédit (FEC), du Mécanisme Elargi de Crédit (MEC) et de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD) sont prévues pour octobre 2023.
« Au cours de la visite, l'équipe du FMI a été reçue en audience par son excellence, Monsieur le Premier ministre, Amadou Ba. Elle a également rencontré le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba ; le Directeur National de la BCEAO, Ahmadou Al Aminou Lo ; des hauts fonctionnaires ; des partenaires au développement ; ainsi que des représentants des milieux d'affaires et de la société civile. »
Département de la communication du FMI
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TÉLÉPHONE:+1 202 623-7100COURRIEL: [email protected]
Chim
En Septembre, 2024 (21:37 PM)Latif Building
En Septembre, 2024 (22:52 PM)Patriote
En Septembre, 2024 (06:10 AM)Patriote
En Septembre, 2024 (17:33 PM)Doro
En Septembre, 2024 (06:39 AM)Tu as déjà langé. Laisse nous maintenant
Ndiagagnao
En Septembre, 2024 (10:17 AM)🙏🙏🙏Merci pour cette belle contribution
Diop Ousmane
En Septembre, 2024 (16:32 PM)Participer à la Discussion